Titre : Les Fourmis
Auteur : Bernard Werber
Année de parution originale : 1991
Année de la présente édition : 2001
Editeur : Le Livre de Poche
Prix : 6,60 €
Nombre de pages : 320 p.
Le résumé :
Le temps que vous lisiez ces
lignes, sept cents millions de fourmis seront nées sur la planète. Sept cents
millions d'individus dans une communauté estimée à un milliard de milliards, et
qui a ses villes, sa hiérarchie, ses colonies, son langage, sa production
industrielle, ses esclaves, ses mercenaires... Ses armes aussi. Terriblement
destructrices. Lorsqu'il entre dans la cave de la maison léguée par un vieil
oncle entomologiste, Jonathan Wells est loin de se douter qu'il va à leur
rencontre. A sa suite, nous allons découvrir le monde fabuleusement riche,
monstrueux et fascinant de ces "infra terrestres", au fil d'un
thriller unique en son genre, où le suspense et l'horreur reposent à chaque
page sur les données scientifiques les plus rigoureuses. Voici pour la première
fois un roman dont les héros sont des... fourmis.
Mon avis :
Avant de commencer cette critique, je tiens à rappeler que c'est ici un
avis personnel qui transparait.
Si on devait résumer ce livre,
on pourrait commencer par hommes et fourmis. Le récit alterne entre une
histoire d'hommes, celle de la famille Wells plus particulièrement, et une
histoire de fourmis, celle des cités fédérées de Bel-o-kan.
Le passage de l'un à l'autre de
ces deux mondes est parfois troublant. D'un paragraphe à l'autre on change de
point de vue et c'est parfois déroutant. Entre les 50 premières pages et les 50
dernières, le récit est un peu creux à mon goût et n'apporte rien, un peu comme
si il tournait en rond. Si il est intéressant de découvrir le système sociétale
de ces petits êtres, le désintéressement prend bientôt le pas sur la curiosité.
Car si le roman nous vend une «
rencontre » avec les fourmis (nos voisines^^ !), cela n'arrive pas de sitôt. En
effet, les deux « camps » vont évoluer chacun de leur côté et la rencontre
entre les deux univers se fait attendre jusqu'à la fin.
L'écriture est assez neutre
selon moi, dans le sens où l'on aime ou on aime pas. Personnellement, je n'ai pas vraiment accroché à ce récit ni au style de l'auteur.
On sent néanmoins que le sujet passionne l'auteur et qu'il a poussé à fond ses recherches. Un bon point pour lui ! Il nous fait découvrir le monde des fourmis. Leur similarité avec notre société est troublante, et c'est un fait qu'on ne peut ignorer aujourd'hui. Mais on change de point de vue sur les petits êtres qui nous entourent, nous ces monstres gigantesques qui nous empressons d'effacer de la surface de la Terre un petit être tout sensible !
On sent néanmoins que le sujet passionne l'auteur et qu'il a poussé à fond ses recherches. Un bon point pour lui ! Il nous fait découvrir le monde des fourmis. Leur similarité avec notre société est troublante, et c'est un fait qu'on ne peut ignorer aujourd'hui. Mais on change de point de vue sur les petits êtres qui nous entourent, nous ces monstres gigantesques qui nous empressons d'effacer de la surface de la Terre un petit être tout sensible !
En résumé, je considère toujours
ce livre comme un must. Si personnellement je n'ai pas spécialement accroché,
je n'ai pas pour autant pensé à abandonné le livre avant la fin. Surtout que
celle-ci est très intéressante et j'ai très envie de découvrir la suite !
Je
lui donne un 13/20, mais à suivre ! La trilogie ne fait que commencer ! :)
Enjoy ! :)
Enjoy ! :)
Comme quoi ce livre n'a pas que des avis positifs ! Je ne l'ai pas encore commencé mais il me fait de l'oeil depuis un petit moment.
RépondreSupprimerLes goûts et les couleurs ça ne discute pas ;)
SupprimerMais comme je le disais la fin rattrape le tout et donne envie de poursuivre !