lundi 18 avril 2016

Critique Livre n°38 : Les Fourmis de Bernard Werber

          Salut la Compagnie !
 
Un ami m'a chaudement recommandé ce livre, et vu le nombre de personnes qui l'ont aimé, je ne pouvais que me lancer.
 
Quelques données sur le livre :
Titre : Les Fourmis
Auteur : Bernard Werber
Année de parution originale : 1991
Année de la présente édition : 2001
Editeur : Le Livre de Poche
Prix : 6,60 €
Nombre de pages : 320 p.

Le résumé :
Le temps que vous lisiez ces lignes, sept cents millions de fourmis seront nées sur la planète. Sept cents millions d'individus dans une communauté estimée à un milliard de milliards, et qui a ses villes, sa hiérarchie, ses colonies, son langage, sa production industrielle, ses esclaves, ses mercenaires... Ses armes aussi. Terriblement destructrices. Lorsqu'il entre dans la cave de la maison léguée par un vieil oncle entomologiste, Jonathan Wells est loin de se douter qu'il va à leur rencontre. A sa suite, nous allons découvrir le monde fabuleusement riche, monstrueux et fascinant de ces "infra terrestres", au fil d'un thriller unique en son genre, où le suspense et l'horreur reposent à chaque page sur les données scientifiques les plus rigoureuses. Voici pour la première fois un roman dont les héros sont des... fourmis. 

Mon avis :
Avant de commencer cette critique, je tiens à rappeler que c'est ici un avis personnel qui transparait.

Si on devait résumer ce livre, on pourrait commencer par hommes et fourmis. Le récit alterne entre une histoire d'hommes, celle de la famille Wells plus particulièrement, et une histoire de fourmis, celle des cités fédérées de Bel-o-kan.

Le passage de l'un à l'autre de ces deux mondes est parfois troublant. D'un paragraphe à l'autre on change de point de vue et c'est parfois déroutant. Entre les 50 premières pages et les 50 dernières, le récit est un peu creux à mon goût et n'apporte rien, un peu comme si il tournait en rond. Si il est intéressant de découvrir le système sociétale de ces petits êtres, le désintéressement prend bientôt le pas sur la curiosité.
Car si le roman nous vend une « rencontre » avec les fourmis (nos voisines^^ !), cela n'arrive pas de sitôt. En effet, les deux « camps » vont évoluer chacun de leur côté et la rencontre entre les deux univers se fait attendre jusqu'à la fin.  

L'écriture est assez neutre selon moi, dans le sens où l'on aime ou on aime pas. Personnellement, je n'ai pas vraiment accroché à ce récit ni au style de l'auteur.
On sent néanmoins que le sujet passionne l'auteur et qu'il a poussé à fond ses recherches. Un bon point pour lui ! Il nous fait découvrir le monde des fourmis. Leur similarité avec notre société est troublante, et c'est un fait qu'on ne peut ignorer aujourd'hui. Mais on change de point de vue sur les petits êtres qui nous entourent, nous ces monstres gigantesques qui nous empressons d'effacer de la surface de la Terre un petit être tout sensible ! 

En résumé, je considère toujours ce livre comme un must. Si personnellement je n'ai pas spécialement accroché, je n'ai pas pour autant pensé à abandonné le livre avant la fin. Surtout que celle-ci est très intéressante et j'ai très envie de découvrir la suite !
Je lui donne un 13/20, mais à suivre ! La trilogie ne fait que commencer ! :)

Enjoy ! :)

2 commentaires:

  1. Comme quoi ce livre n'a pas que des avis positifs ! Je ne l'ai pas encore commencé mais il me fait de l'oeil depuis un petit moment.

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    1. Les goûts et les couleurs ça ne discute pas ;)
      Mais comme je le disais la fin rattrape le tout et donne envie de poursuivre !

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